Le développement social durable est un phénomène qui marque cette période aujourd’hui comme le temps des conquêtes sociales contre la pauvreté. Les concepts économiques pour éradiquer l’existence de la pauvreté avaient déjà réussi en Bangladesh, mais maintenant, les pays en développement sont les laboratoires pour les nouvelles formes de finance, surtout le microcrédit et le social business. Un exemple principal est la question de l’Afrique ; qu’est-ce que c’est cette question ? Le continent le plus pauvre au monde, composés des pays les plus pauvres qui sont aussi affligés par le VIH et le SIDA. Dans l’Afrique subsaharienne l’Organisation des Nations Unies (ONU) a commencé un mouvement de microcrédit dans un effort d’augmenter l’activité fiscale et de réduire la prévalence du VIH. Qu’est-ce que les théories économiques traditionnelles prévoient ? Est-ce que les nouvelles théories peuvent expliquer les divergences avec la réalité ?
Il faut bien définir le problème avec n’importe quel système financier dans des pays qui sont situés au sud du dessert du Sahara a deux aspects. Premièrement, on essaie d’introduire un système financier dans une population qui n’est pas vraiment éduqué et qui ne comprend pas l’idée de comptabilité fiscale. Deuxièmement, on essaie de combattre les virus fatals dans les régions de pauvreté.
Utilisant l’approche de Mohammad Yunus, les pays subsahariens établissent les institutions de microcrédit pour éliminer la pauvreté en même temps qu’on enseigne des clients aux faits à propos du VIH/SIDA. Beaucoup des institutions utilisent les indicateurs sociaux, comme les seize principes de la Grameen Bank, au lieu des indicateurs économiques traditionnelles à cause du manque d’expérience parmi les emprunteurs. Normalement les indicateurs économiques ne réfléchissent que l’utilité d’un joueur dans l’économie. Cependant, dans les certains cas le bien être d’une personne peut seulement être mesuré dans un contexte. Selon Amartya Sen, il y a dix capacités qui indiquent le niveau sociétal d’un peuple, pas seulement l’accès à la nourriture ou à l’eau, mais l’accès aux émotions développées. Donc, la qualité d’une économie est déterminée par les capacités des citoyens et pas par la qualité des institutions ou de l’état. Mais, pour plusieurs des gens, les décisions ne sont pas faites dans le marché, mais dans les autres dispositifs.
Selon la théorie des conventions et la théorie de régulation, des autres dispositifs existent pour la coordination des décisions qui sont faites dans les endroits autrement que le marché marchand. « Les domaines atteints sont la famille, le pouvoir, la politique, l’organisation ; l’objet de l’échange marchand n’est plus le pivot de la coordination » (Duvernay, 4). Cela veut dire qu’il y a des autres influences, comme les mœurs et les valeurs, qui affectent les décisions dans les sociétés africaines, comme la famille, la religion, et la tribu. Comme Yunus a visé sur les femmes comme les cibles d’activité, les institutions africaines veulent que les femmes sont les emprunteuses pour quelques raisons. Premièrement, les familles seraient plus affectées si les femmes recevaient l’argent (au lieu des hommes, qui d’habitude dépensent l’argent sur eux-mêmes). Deuxièmement, en fournissant l’éducation pour la prévention de la transmission du VIH, les femmes, qui sont plus susceptibles au virus, seront plus protégées. Les femmes sont biologiquement 2 à 7 fois plus de risque à devenir infectées. Donc, un double effet est atteint par le microcrédit.
Selon Francesco Stobbes, une chercheuse du VIH dans la Zambie et le sud d’Afrique, « Microcredit can be a powerful tool in addressing the consequences of the HIV/AIDS pandemic in the short term and for removing the causes of the disease in the mid to long term » (CITE). L’idée en arrière sa méthode de pensée est l’idée de bien comprendre le group cible d’une tentative du business. En combinant les principes de la théorie des conventions et la théorie de la régulation, on ajoute l’étude des sciences humaines pour expliciter la dimension pluraliste des humaines. Pour la plupart, le manque d’éducation et le manque d’accès au système financier empêchent les gens à devenir une partie active dans l’économie.
Le succès d’un business est la chose la plus importante aux directeurs d’une entreprise, donc il faut être certain dont la banque va rentrer dans ses frais après avoir donné des prêts aux pauvres, qui deviendraient potentiellement malades. Comment est-ce qu’on peut le faire ? Les institutions en Afrique essayent de pas seulement éduquer les clients, mais de les aider à devenir plus productifs. Par conséquent, les clients approcheraient le taux de remboursement de 98,6% comme ceux qui habitent en Bangladesh. Pour ceux qui sont positifs, le taux de remboursement est entre 65,25% à 86,27%. Pour les intérêts de la banque et pour le bien-être de la société, les institutions ont une double motivation.
Quelles sont les raisons pour lesquelles ces types d’institutions ont été fondés ? On peut imaginer qu’avec la mondialisation des économies, de technologie, et de la connaissance, les consommateurs autour le monde sont mieux informés. Donc, en faisant les décisions, ils prennent en compte plus qu’avant. Les résultats pourraient changer si les coûts des problèmes sociaux sont plus chers que les solutions alternatives. Dans la théorie des jeux, on dit qu’un équilibre de Nash est une situation dans laquelle on ne veut pas changer leurs stratégies. Maintenant, on est en train de changer des stratégies pour inclure l’information à propos de la santé dans une institution financière. Vraiment, dans la réalité, « l’individu intègre dans sa conduite une visée normative sur la coordination avec les autres et le bien commun, au lieu de se replier sur un calcul égoïste » (Duvernay, 17). Cependant, les stratégies des firmes considèrent le cycle des paiements des clients positifs et des clients négatifs. Mais à long terme, les coûts de la continuation du virus sont plus hauts que les pertes a court terme à cause des fautes de paiement. On ne peut pas vraiment citer une valeur pour les pertes parce qu’elles incluent les vies humaines.
Les êtres humains sont plus complexes que leur représentation dans la théorie économique traditionnelle. Selon les nouvelles théories d’Amartya Sen et Mohommad Yunus, les gens ont toujours un droit à un standard de justice et des convenances. Il laisse tomber les suppositions d’un environnement uniforme ou se trouve les joueurs. On voit que le comportement rational, comme défini par l’étude de l’économie, n’existe plus aussi. C’est parce que les gens ont la capacité d’interpréter : « L’incertitude qui pèse sur la coordination n’est plus seulement une question de distribution d’information : elle est contenue par la rationalité interprétative des agents et par l’appui qu’apportent des cadres communs d’évaluation qualifiant les éléments pertinents de la situation » (Duvernay, 3). L’encadrement du système est similaire au système de la Grameen Bank et les institutions en Afrique subsaharienne suivent l’idée des groups de soutien. Ce n’est pas une économie qui essaie d’éliminer la pauvreté, c’est le peuple ; ce n’est pas les joueurs, c’est les citoyens. Main selon les théories néoclassiques traditionnelles, « [il n’y a pas] de place pour les normes éthiques » (Science Economique, 5). L’éthique inspirée est la raison pour laquelle les entreprises sociales étaient créées. Les buts des institutions, dirigées par l’Opportunité Internationale (OI), sont d’aider dans l’élimination de la pauvreté à travers le microcrédit et d’éduquer les femmes sur la prévention et le soin du VIH/SIDA et comment elles peuvent mobiliser la communauté.
Le problème de la prévalence du VIH est à cause de la pauvreté. Si le microcrédit peut affecter les gens pauvres, peut-être les effets résiduels affecteront le taux du VIH. En particulier, la thérapie rétrovirale est seulement dangereuse si les patients n’ont pas assez de l’eau et de la nourriture de façon régulière. Dans ces cas, les conditions dans lesquels les médicaments étaient testés sont changées, donc les médicaments ne marche pas effectivement. Le virus peut transmuer et devenir résistant aux inhibiteurs antiretrovirals. Donc, en soulageant les conditions économiques, on aide dans l’amélioration des marches, et comme résultat, les conditions de la vie. On gagne l’accès aux traitements. Ces effets laissent voir l’entremêle des décisions économiques et sociales.
Le développement social durable est un nouveau mouvement, en train de transformer, pour expliquer le courant dominant. Aujourd’hui, on essaie de motiver les pays avancées à aider ceux qui sont dans le développement en faisant le processus comme un jeu de business. Malgré les enseignements des théories traditionnelles de la régulation, le système capitaliste peut trouver une solution au lieu du gouvernement.